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  • : Elodie et François autour du monde
  • : Elodie, 29 ans et François, 30 ans, ont décidé de faire une pause de 11 mois dans leur travail pour faire un tour du monde !
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Bienvenue sur notre blog!

Nous tâcherons de mettre à jour le plus souvent possible ce site afin de vous faire partager nos aventures.

N'hésitez pas à nous déposer vos commentaires et vos envies afin que nous puissions communiquer au mieux avec vous.

A bientôt.

26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 19:49

 

 

Avant notre départ, nous nous sommes largement inspirés des conseils des bloggers. Vous trouverez notre liste d'équipement au départ dans la rubrique préparatifs du blog

A notre tour de faire le point, une fois le voyage achevé !

Quelques conseils :

  • Choisissez des vêtements légers et peu encombrants, vous pourrez en prendre plus !
  • Sélectionnez les couleurs et les imprimés : faîtes en sorte que les bas et les hauts s’accordent tous entre eux.
  • Prenez le minimum de vêtements et de chaussures qui répondent au maximum de besoins.
  • Traquez le poids : pesez et prenez vos décisions en incluant ce paramètre.
  • Faîtes-vous plaisir ! N’emmenez pas que des vêtements techniques.
  • Pas de stress : On trouve tout partout, vous pourrez tout acheter en route.

POUR TOUS :

 

Veste anti-pluie respirante : bien, mais pensez à avoir un petit parapluie pliant aussi, car vous vous en servirez dans les pays chauds, là où vous ne supporterez pas votre coupe-vent par 30-40°C !

Sweat polaire, selon les continents : Jamais servi en Asie. Pour Elo, jetée en Malaisie (après un soupçon d’attaque de puces), puis rachetée en Australie pour notre trip en Nouvelle-Zélande. Là-bas, c’était tout simplement indispensable, de même qu’au Chili et en Argentine. Comme cela prend beaucoup de place, Elo s’en est de nouveau débarrassé avant notre entrée au Brésil. A avoir selon votre trajet, peut être achetée en cours de route. La capuche est une bonne idée.

Gants, bonnets : Achetés en cours de route,  pour la Nouvelle-Zélande et le Chili-Argentine. Utile pour les randonnées en Nouvelle Zélande et la Patagonie.

Chaussures de randonnée basses pays chauds : Pas gore tex, pour évacuer encore plus vite la transpiration et sécher rapidement. Il est difficile de trouver la chaussure qui conviendra à toutes les destinations. Les nôtres n’étaient pas très chaudes pour la Patagonie, mais suffisantes, comme nous y étions au début de l’été. Choisir un modèle à tige basse permet de les porter beaucoup plus souvent, comme une paire de baskets. Pratiquement nos seules chaussures fermées.  Pour les quelques randonnées que l'on a faites, avoir une chaussure basse ne nous a pas gênés. Celles de François, usées, ont dû être remplacées en Patagonie.

Chili - Torres Del Paine-20

tenue chaude en patagonie !

Chaussettes : de 3 à 6-7 paires. Nous avions investi avant de partir dans des chaussettes de trail qui sèchent vite. Inutile de se charger. Pour les pays où nous avons porté quasiment tous les jours nos chaussures de randonnée, nous avons racheté des chaussettes en plus sur place.

Tongs (remplacées plusieurs fois en route) : très pratique ! Les prendre en plastique pour prendre sa douche dans des endroits pas très propres. Sert tout le temps, la journée, et même le soir, et dans les pays chauds quand il pleut et bien sûr pour la plage. Pratique pour les visites successives de temples où l’on doit se déchausser.

Paréo/sarong - super ! à acheter en voyage, sert d'écharpe quand il fait froid, de serviette de douche ou de plage, de drap... Facile à laver et sèche très vite. Evitez les serviettes classiques, vous n’aurez pas la place J. On préfère personnellement le paréo à la serviette technique, rèche et qui sent facilement mauvais.

IndeAmritsar-015

camouflage et sarong à la frontière indo-pakistanaise

Lunettes, chapeau/casquette : indispensable. A force d’être tous les jours dehors, la peau brûle. Prenez plutôt un chapeau mou qui se plie et se lave. Le chapeau de paille, c’est sympa mais encombrant. Voyez si vous être prêts à le porter tout le temps avec vous.

Oreiller de voyage gonflable, boules quies : pour bien dormir en avion et dans les bus, les dortoirs.

Nécessaire à pharmacie dans 2 boites PVC. Les boites PVC ont permis de bien transporter le tout pendant 1 an, sans écraser. On a bien évidemment toujours trop de médicaments... C’est difficile de faire le tri. Un conseil, Essayez d’avoir un peu de tout en cas d’urgence. Mais ne vous surchargez pas de ce l'on peut acheter partout (aspirine, pansements, désinfectant etc...). Pour les sprays anti-moustique et la crème solaire (indice 50), achetez en un flacon correct, puis vous en trouverez en route dans les grandes villes. Consultez un médecin en avance pour les vaccinations et éventuellement la prescription d’un traitement anti-palud.

Sac à viande en soie : Très utile en Asie, quand la propreté des draps vous parait douteuse… Où qu’ils ne vous fournissent que le drap housse.

Cadenas, 2 avec clés, 2 avec codes : très utiles. Hormis durant les transports, les cadenas à clés nous ont servi à fermer systématiquement un des 2 gros sacs lorsque nous partions nous balader et que nous laissions des objets de «valeur » dans notre chambre. C'est uniquement dissuasif, mais utile. Sert aussi à cadenasser les placards dans les backpacks. Les cadenas à code avaient un petit cable en acier qui nous permettait d’accrocher un de nos petits sacs à dos où nous avions PC et appareils photo dans les transports de nuit (au repose pied par exemple). En Inde, nous avions fait comme les locaux : nous avions acheté une chaine dans un bazar local, et nous attachions nos gros sacs sous les couchettes !

Pochette sécurité ventrale : désagréable (choisissez la fine) mais très utile, notamment dans les bus ou trains de nuit, mais aussi la journée lorsqu'on veut mettre son passeport et sa CB à l'abri. Protège des pickpockets mais ne protège pas forcément lors d'un braquage, car c’est bien connu que tous les touristes portent ce type de pochette. Au Brésil, pays plus sensible, tout s'est bien passé, mais nous sortions régulièrement sans CB ni passeport, et avec un ou 2 billets de secours cachés sur nous dans une chaussure par ex, où dans une vraie ceinture de pantalon qui contenait un petite poche zippée pour glisser un billet ou 2. A ce sujet, nous nous sommes toujours habillés humblement et comme les locaux.

Sac bandoulière en toile : acheté en route, change du sac à dos, pour se balader la journée. Fait moins touriste et tient moins chaud !

Trousse de toilette : Vous partez à deux ? Il va falloir mutualiser et optimiser ! Crème nivéa (visage et corps), savon de marseille (douche ou pour laver les vêtements), shampoing, dentifrice, rasoir, nettoyant visage… Vous trouverez ensuite tous les produits d’hygiène de base partout.

Nécessaire à lessive : Fil à linge, lessive, sac coton, brosse, bouche évier, 2 pinces à linge. Très utile ! On fait parfois sa lessive à la main. Le sac léger en coton sert à tout, pour les courses, comme sac de plage ou pour ranger le linge sale. Evitez le sac plastique, ça sent mauvais…En plus il peut être lavé régulièrement. Le fil à linge sert aussi à accrocher la moustiquaire. Les pinces à linge servent un peu à tout.

Moustiquaire 2 places imprégnée : a globalement assez peu servi car l’accrochage est une épreuve en soi. En plus, vous vous retrouvez souvent à dormir la tête et les pieds dans la moustiquaire… On a donc rusé en mettant des petits sacs à nos pieds pour la surélever.  Nous l'avons renvoyée par courrier vers la fin du voyage. A vous de voir ! Sinon, choisissez des hébergements déjà équipés ou qui ont un ventilateur. Les moustiques n’aiment pas la ventilation.

Sacs séparateurs de différentes tailles : utiles car nos sacs ne s'ouvrent pas complètement. Permet de vider son sac, de le refaire assez rapidement et de trouver facilement ses affaires, par thématique.

Housses protectrices de sac à dos : Indispensable ! Nous avons utilisé ces sur-housses imperméables universelles en permanence, non pas pour la pluie mais pour protéger nos sacs lors des transports, comme les soutes d’avion et de bus. Résultat : nos sacs sont impeccables, nos housses sont à la benne (cqfd). Prenez des modèles simples qui permettent de porter votre sac comme d’habitude, sur le dos.

Thailande Chiang Rai 004

passage de frontière entre le laos et la thailande : nos housses de sacs indispensables !

Livres et guides, surtout en anglais. Nous avons toujours acheté, neuf, en occasion ou en troc, nos guides de voyage en cours de route. Même chose pour les romans. Si vous les voulez en français, ce sera plus difficile. Tout cela pèse bien lourd ! Nous avions en permanence 3-4 romans et 1 ou 2 guides. Certains voyagent désormais avec le livre électronique. A vous de voir.

Divers Utile : Lampe torche, lampe frontale, sacs ziplock pour l'avion et mettre à l'abri de l'humidité passeport ou argent, briquet, adaptateur électrique avec 4 embouts pour tous les pays, couteau suisse, mini trousse couture (le fil et l’aiguille ont bien servi), jeu de cartes, dés, cartes et livrets de plongée, petit porte-monnaie pour l’argent de tous les jours.

Produits high-tech : appareil photo compact canon. Nous avons préféré l’appareil compact au réflex pour des questions d’encombrement et de discrétion. Pas de regret, à vous de voir. Mini PC : Pour nous, le mini-PC (1kg 2) a été vraiment utile. Il nous a permis de rédiger le blog, de trier au fur et à mesure toutes nos photos et de les envoyer sur un serveur de sauvegarde, de tenir nos comptes, de rester en contact avec nos familles, de préparer la suite du voyage. Pas besoin donc d’attendre qu’un ordi se libère dans la guesthouse ou de payer un cyber. Il y a énormément d’endroits avec du Wifi gratuit. Pensez éventuellement à une multiprise, si vous êtes pressés et que voulez recharger plusieurs appareils simultanément. Mini trépied, chargeurs, cartes mémoire, ipod, iphone, écouteurs, montre avec date/jour/réveil ont également servi. 

Matériel de camping : à voir. Nous avons acheté des duvets au Chili. C’est utile si vous allez dans un pays et que vous décidez de camper. A ne prendre que si vous campez plusieurs jours. Cela peut être le cas en Australie, Chili, Argentine… Dans ce cas, prévoyez aussi la tente, les matelas, la popotte. Sachez néanmoins qu’au Chili et à l’île de Pâques ainsi qu’en Argentine, il est possible de louer tout ce matériel. A vous donc d’étudier la chose. Mais éviter de vous charger car c’est lourd et encombrant. Nous avions aussi acheté une boite tupperware et des couverts pour cuisiner de quoi pique-niquer en Amérique latine.  La couverture de survie n’a pas servi mais ne prends pas de place…

Chili - Torres Del Paine-92

camping au Chili au parc torres del paine

 

Ne pas oublier : passeport, CB, visas éventuels, carnet vaccination, cash (un peu de dollar et d’euro à garder en secours), photocopies des passeports (en faire plusieurs, à glisser dans les gros sacs, et à montrer dans les hôtels etc…). Mini cahier pour tout noter. Ayez un moyen pour contacter votre banquier rapidement. Nous avons dû faire revoir le plafond de paiement à la hausse.

 

POUR LES FILLES :

Le grand dilemme : Comment voyager routarde en restant féminine ? Choisissez des vêtements confortables mais que vous aimez porter, avec des couleurs, des coupes ou des détails féminins.

Chemises ML amples : 2 au départ, 2 à l’arrivée. Utile le soir contre les moustiques, contre le soleil, pour certaines visites où l’on doit se couvrir. Peut être portée en style sportif avec un pantalon baroudeuse mais aussi plus chic un jean ou nouée à la taille sur une jupe. Choisissez là soigneusement !

Tee-shirts ML : 1 au départ, 0 au final. Inutiles si on a des chemises manches longues.

Tee-shirts MC : départ à 4, arrivée à 6. On en a acheté en route ! inutile de se charger au départ et vous aurez envie de changer. A vous de voir, mais selon les pays visités, vous vous adapterez probablement au look local et éviterez les décolletés et les vêtements moulants. Pensez aux sarong ou aux chèches portés autour du cou qui pourront atténuer cela !

Débardeurs, 2 : pas si utile, hormis à la plage. Personnellement, avec des débardeurs, c’est coup de soleil garantis sur les épaules, et on a plus de confort avec les épaules protégées quand on porte le gros sac à dos.

Pantalons, shorts : 2 au départ, 5 à l’arrivée. Je suis partie avec un pantalon de randonnée en coton, assez large avec des poches. Pas beau mais pratique et confortable, pour la marche et pendant les transports de nuit.  Prenez peut-être un modèle qui fait short aussi. N’écoutez pas les personnes qui vous disent de ne pas prendre un jean ! C’est le meilleur choix que l’on ait fait ! A porter le soir contre les moustiques dans les pays chauds, et en ville la journée, pour sortir le soir…On fait beaucoup moins « touriste » avec un jean ! J’ai acheté en route 2 shorts coton ¾ (très bien si l’on veut être un peu couverte), et un pantalon très léger style baba, taille élastique, serré aux chevilles. Très agréable à porter lorsqu’il fait chaud et très confortable. Protège du soleil et des insectes.

Hong Kong 045

jean et tee-shirt à Hong-Kong

Robe 1, puis 0 : C’est vraiment pour le plaisir, j'en ai changé en cours de route puis je l’ai renvoyée. Mieux vaut emmener une jupe.

Jupes 2 : Une longue, imprimée fleurie colorée. C’est vraiment excellent à porter car c’est léger, couvrant, un peu féminin (ouf !), à porter la journée ou le soir avec des sandales. J’ai également emmené une jupe courte trapèze noire, passe-partout, afin de pouvoir la porter en toutes occasions, une basique un peu chic. La mienne était avec des poches zipées, comme ça, on peut sortir sans sac !

Legging 1, puis 0 : Il pouvait aussi servir de pyjama mais il n'a que peu servi et je m'en suis débarrassé. Ne sert pas dans les pays chauds.

CambodgeKampot 027

escalade en jupe longue dans les grottes de Kampot au Cambodge

Gilets 2 : prenez un basique facile à assortir avec tous vos vêtements. J’avais un gilet noir simple mais féminin avec des boutons nacrés et un gilet plus sportswear en jersey de coton kaki, type petit bateau, qui remplace idéalement le tee-shirt manches-longues.

Sous-vêtements 6 : privilégiez le coton pour plus de confort dans les pays chauds.

Maillots de bain : 2, puis 1 car le premier trop usé !

Hygiène pour fille : le maquillage n’est pas utile…Ne vous chargez pas. Prenez juste un mascara et un RAL pour les grandes occasions, ça suffira. Par contre, j’ai pas mal porté de vernis à ongle. Si vraiment vous avez peur de manquer, vous en achèterez en route ! Pensez à prendre des tampons, plus difficile à trouver. Exit le sèche-cheveux ! Passez chez votre médecin gynécologue qui vous prescrira si besoin votre moyen de contraception pour 12 mois et d’autres médicaments en prévention.

JaponKanazawa-054

Au japon : jupe de ville, sandales et et chapeau pour madame. T shirt et bermuda pour monsieur.

Sandales en cuir: A servi de jour comme de nuit. A choisir confortables, résistantes,  et qui peuvent aussi servir pour sortir, comme des tropéziennes par exemple. Idéal. S’il pleut, vous mettrez vos tongs ou vos chaussures de rando !

POUR LES GARCONS

Chemises 2 : Une manche courte, une manche-longues blanche habillée pour sortir. Pratique pour pouvoir entrer dans les restaurants et les bars plus chics sans problème.

Polo : acheté en cours de route, pour la journée et le soir.

Vietnam NhaTrang 069

Soirée pétanque entre français à Nha Trang, Vietnam. Polo piqué et bermuda en lin de rigueur.

Tee-shirts MC 2 au début, 5-6 à la fin : partir avec peu et acheter et changer en cours de route.

Tee-shirt techniques 3 au début, 1 à la fin : ne sert qu’en randonnée ou pour faire du snorkelling.

Pantalon convertible short : utile.

Jean : très utile, pour le soir, pour sortir et la journée dans les pays tempérés.

Bermudas 2 : portés tout le temps dans les pays chauds. Mieux que le short car plus souvent accepté dans les temples.

Pull 1 : en laine col V qui peut aussi convenir avec une chemise.

Short de bain 1, puis 2 : changé en cours de route pour usure.

Sandales de marche : bof, peu servies. C’est surtout les tongs ou les chaussures de marche qui sont portées.

Chaussures de ville : achetés à la fin en Argentine pour sortir. Les premières chaussures de marche basses, marron claires, convenaient avec un jean pour sortir.

 

Bonne préparation !

Bresil Rio-081

 Flower power au carnaval de Rio

 

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 21:56

Bresil.gif Iquaçu Pantanal Olinda Maceio Ouro Prêto Sambodrome Paraty Rio de Janeiro

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Ah, le Brésil ! Notre dernier pays… Elodie craignait cette destination, de peur de se faire braquer, mais finalement, l’appréhension passée, il rentre dans la liste de nos pays préférés !

Certes, c’est un pays en plein essor économique, mais les inégalités criantes sont parfois plus choquantes qu’ailleurs. Certains se battent pour obtenir des terres où pour régulariser leur toit dans une favela. C’est un des plus grands pays au monde, avec un peuple fier, métissé et nonchalant. Exotisme et fête, les mots clés de notre séjour au Brésil.

On aime (beaucoup de choses au Brésil) :

  • Le Carnavaaaaal, les préparatifs, son ambiance, notamment à Rio
  • Les Brésiliens, très cools. Pas d’énervement, c’est contre-productif
  • Paraty et ses plages paradisiaques
  • Les villes historiques (Olinda, Ouro Preto)
  • L’exotisme du Pantanal et des chutes d’Iguazu

 

 

 

On aime moins :

  • Le risque de vol ou braquage. Il existe, rien ne sert de le nier. Il faut être prudent et humble mais une fois que l’on a appris à se promener avec le minimum et accepté le risque, on est plus détendus !
  • Le coût de la vie élevé

 

Nous sommes d’ores et déjà prêts à revivre l’expérience Carnaval dès 2013 ! Mais il faut très vite réserver, notamment pour les hébergements lors du Carnaval à Rio et les autres villes comme Salvador, Recife et Olinda. Et il nous reste Bahia et sa capitale Salvador à visiter, puisque la police, qui était en grève, n’assurait plus la sécurité…

Brésil, on reviendra !

 

102 - Carnaval Rio Sambodrome

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 17:28

Nous arrivons à Rio après une petite nuit en bus. Pas très confortable, nous n’avons pas très bien dormi, et nous prenons donc un taxi prépayé pour rejoindre Leme-Copacabana, et l’appartement de notre hôte pour quelques jours, André.

C’est un ami français d’un oncle de François, et il faut bien dire que la vie au Brésil, ça conserve ! A 75 ans, André marche une bonne heure le long de la plage ou va à la gym tous les matins. Et même s’il est officiellement retraité, il continue à travailler, à jouer l’intermédiaire entre des industriels français et brésiliens pour de gros contrats.

La vie est belle ici, André a un bel appartement vue sur la plage et il nous fait visiter le matin son quartier de Leme, les commerces du coin, ainsi que quelques pas dans la favela, désormais pacifiée, que les brésiliens préfèrent appeler « communidad ». Enfin, André demande quand même à la police fédérale au pied de la montée si tout est bien calme aujourd’hui ! Mais surtout, tout a bien changé et c’est bien plus calme en générale aujourd’hui dans le quartier.

Après cette petite balade de quartier, nous décidons donc d’aller profiter de la plage ! Elle est immense et vraiment magnifique. C’est dur de ne pas tomber amoureux de cette ville au premier regard. Bon, un petit hic tout de même, la mer est assez fraîche à Rio ! Mais c’est très bien pour se rafraîchir car on cuit littéralement sur la plage. D’ailleurs, 99,9 % des brésiliens louent des transats et des parasols pour s’installer sur la plage.

Samedi en fin d’après-midi, nous déambulons sur la promenade immense le long de la mer, et découvrons un peu l’ambiance de Carnaval. Mais nous sommes bien fatigués et ce sera donc une première nuit assez tranquille à Rio.

Dimanche matin, après le petit déjeuner avec André, servi par sa gouvernante Lourdes, qui nous comble avec le lavage et le repassage de nos vêtements (depuis quand nos vêtements n’ont-ils pas connu un fer à repasser ???!), nous partons en métro vers le Centro afin de récupérer nos pass pour notre soirée au Sambodrome (cf article précédent !). Il y a eu une énorme fête de Carnaval la veille et les rues du centre portent encore les stigmates des détritus et des mauvaises odeurs ! Nous repartons ensuite pour Copacabana, et en milieu d’après-midi, nous rejoignons Ipanema dans un métro rempli de jeunes en délire avec maillots de bains, shorts, perruques, chapeaux… pour suivre - comme près d’1 million de personnes ! – le bloco Simpatica ! Sur le toit du camion, les chanteurs et les guitaristes jouent, suivis par les percussions et les cuivres au sol. La bière coule à flots, vendue par une multitude de petits vendeurs de rue avec leurs glacières. Nous remarquerons que l’ensemble du Carnaval aura une atmosphère très détendue, et nous n’y avons pas vu de gens réellement saouls. Sûrement parce que les brésiliens consomment essentiellement de la bière et peu d’alcools forts. Bon, nous on a quand même trouvé un petit stand de caipi…

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Ici, pas de complexe, tout le monde en string !

Le carnaval, c'est aussi pour les chiens !

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le passage du camion du bloco 

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Après avoir suivi le cortège, nous remontons la plage, bien chargée ! Bien sûr, les brésiliennes sont quasiment toutes en tanga ou en string, ici, c’est la norme, quelque-soit leur physique. Elodie a voulu se racheter un maillot mais impossible de trouver le standard européen ici !!! En revanche, pas de topless, c’est interdit ! Nous remontons toute la promenade de Copacabana en nous arrêtant ici et là pour danser autour d’un bloco, il y en a plusieurs qui jouent à cette heure. Nous rejoignons l’appartement d’André pour regarder la première soirée de défilés du Sambodrome sur la télé brésilienne. Nous sommes impatients d’y être !

Lundi, réveil tranquille. Nous hésitons sur le programme, mais nous partons finalement après le déjeuner pour rejoindre le Corcovado, la colline où est situé le Christ rédempteur. Ce sera un très long périple pour y arriver : nous attendons bien longtemps le bus, puis à notre arrivée, le train est complet jusqu’au soir. Nous prenons donc un système de navettes, puis après avoir acheté notre ticket, une seconde navette. Il y a énormément de monde – du au Carnaval – et sous cette chaleur, nous nous frayons une place pour voir le Christo et surtout l’incroyable vue à 360° sur tout Rio. La ville, avec ses immenses rochers, ses plages et sa baie est très esthétique !

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Retour à Leme, une petite sieste et nous nous dirigeons vers le Sambodrome pour une soirée mémorable (cf article précédent !), où nous nous allons finalement dormir tout rouillés après avoir trop dansé la samba.

Mardi, nous nous levons bien tard, et nous allons en fin d’après-midi déambuler sur la promenade de Copacabana et une fois de plus, profiter des blocos qui jouent ici et là. Nous dansons un peu ici et là à la tombée de la nuit. Il y a foule puisque c’est le dernier jour aujourd’hui. C’est vraiment sympa ce Carnaval !

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le barman est débordé !

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Mercredi matin, nous sommes très motivés, on met le réveil pas trop tard pour aller visiter le Centro. Nous débutons par le magnifique monastère de Sao Bento, avant de continuer par la praza XV, ses églises, l’assemblée de l’état de Rio. Malheureusement, nous pensions que les brésiliens auraient repris le travail, mais c’est dans une ville quasi morte que nous déambulons ce jour. Nous visitons également la nouvelle cathédrale, controversée, ainsi qu’un autre monastère. Les rues du Centro mixent anciennes maisons coloniales et nouveaux buildings. Après une pause dans une brasserie française et quelques achats dans une librairie, nous rentrons à Leme, parce que sous cette chaleur, nous ne pouvions que nous rendre sur la plage pour nous rafraîchir !!! Ah, ces grandes villes avec des plages, elles sont si rares dans le monde !

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Le soir nous dinons avec André dans une Churrascaria du quartier, un concept répandu ici au Brésil ; viande grillée à volonté !

Jeudi matin, nous quittons Rio pour quelques jours de plage du côté de Paraty.

Mercredi, il est temps de rentrer à Rio en bus pour notre dernière nuit ! Plusieurs heures de transfert, nous arrivons à Copacabana chez notre hôte André en milieu d’après-midi. Nous posons nos sacs avant de repartir voir le pain de sucre. Nous grimpons en téléphérique afin de jouir d’une vue magnifique sur la ville ainsi que du coucher de soleil. Une fois que le soleil se couche derrière le Corcovado et le Christ rédempteur, l’ensemble des personnes présentes applaudit ! Ils sont chaleureux ces brésiliens, et aiment mettre de l’ambiance. Le soir, pour notre dernier diner autour du monde, nous nous posons dans un restaurant italien sur la promenade de Copacabana.

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Dernier jour, nous visitons en matinée le jardin botanique, puis nous déambulons dans les rues hupées et commerçantes d’Ipanema et Leblon. On y trouve même une boutique de sacs à main branchée ou une vendeuse nous sert de la caçacha à la passion.

Nous rentrons à Copacabana pour faire un dernier tour à la plage.

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C’est dur de quitter Rio. Nous faisons les sacs et nous partons pour l’aéroport.

Notre avion décolle pour Londres à 23h. Un grand froid règne dans l’avion. Lors de notre escale, nous manquons de nous faire confisquer nos bouteilles de Caçacha achetées en duty free à Rio. Heureusement, nous parvenons à faire enregistrer en soute un de nos bagages à main. Tous les passagers du vol pour Paris sont habillés en couleurs sombres. Nous n’avons pas de manteau, François est en tongs, il fait bien froid.

Arrivée à Orly, nos familles sont là, c’est super d’être accueillis et de tous se retrouver après 11 mois. Le tour du monde, c’est fini…

Plus de photos de notre dernière étape de ce tour du monde, Rio de Janeiro ! cliquez ici

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 19:01

4h de bus de Rio, nous voici à Paraty en fin de journée. Nous rejoignons l’hostel que nous avions réservé. Le patron, qui se serait un peu embrouillé dans les réservations – «  vous comprenez, c’était le carnaval, j’étais le seul à travailler, tous les employés faisaient la fête » - nous loge finalement dans son B&B voisin, encore mieux. On ne perd pas au change et nous nous installons pour 3 nuits.

Le soir, nous sortons diner et découvrons les ruelles aux pavées de gros galets : difficile de marcher, les tongs souples sont les meilleures alliées pour ne pas se tordre une cheville. Même les chiens du coin marchent en regardant où ils mettent leur pattes !!! Mais c’est ce qui fait tout le charme de cette ville historique, désormais largement piétonnière. Elle a connu son essor lors de la découverte d’or dans le Minas Gerais, servant de port pour le commerce, avant de tomber dans l’oubli, puis connaitre un incroyable boom touristique vers la fin des années 60.

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A marée haute, les ruelles peuvent être inondées par la mer !

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Le stand de Caipi ! Elo adore celle au Maracuja = fruit de la passion !

Le lendemain matin, nous visitons la ville sous une forte chaleur, avant de sauter dans un bus local pour rejoindre le village et la plage de Paraty Mirim pour une après-midi bronzing & baignade.

Dernier jour sur le centre-ville, nous partons en bateau en excursion pour la journée. Dans le port, une multitude de bateaux se font concurrence pour emmener un certain nombre de vacanciers vers les plus belles plages et les îles accessibles en bateau uniquement. Tous ont sur leur pont un chanteur brésilien et sa guitare acoustique pour mettre un peu d’ambiance.

6h de balade, 4 arrêts, deux plages paradisiaques (Vermelha et Lula), et deux arrêts le long de la côte ou à côté d’une île pour se baigner. La mer est nettement plus chaude qu’à Rio, la végétation est luxuriante, on adore cette journée où l’on se baigne et se prélasse sur le pont du bateau au son de la musique brésilienne comme« Païs Tropical » ou « Mas que nada »…

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Dimanche, nous rassemblons nos affaires pour rejoindre notre ultime destination avant notre retour à Rio, le village de Trindade.

45 minutes de bus plus tard, nous arrivons dans le village. Première après-midi plage, baignade, bronzing. Deuxième journée, après un nouveau petit déjeuner fracassant pour notre estomac et notre ligne, nous partons à l’assaut des piscines naturelles au bout de la plage de Cachadaço. Il faut rejoindre cette magnifique plage – une des plus belles de notre voyage, c’est dire ! - par la mer. Nous ne découvrirons que le lendemain le sentier dans la rain forest qui évite de se prendre une vague par-dessus la tête en y allant. D’ailleurs, végétation est magnifique et cet endroit est classé parc national, et regorge d’oiseaux et d’insectes…Nous voyons lors de notre dernière journée un immense scarabée de la taille d’une main…

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Nous déjeunons sur la plage dans une petite gargotte avant de terminer la journée sur l’autre plage. Dernier jour à l’identique, plage, baignade, bronzage…On se boit des noix de coco vertes, c’est bien tranquille la vie à Trindade ! La dernière nuit est un peu dure, panne d’électricité, plus de ventilateur pendant quelques heures. Il faut chaud et les moustiques nous tournent autour.

Mercredi, il est temps de rentrer à Rio en bus pour notre dernière nuit... Ah c'était pas mal quand même !!!

Plus de photos de Party et Trindade ? Cliquez ici pour accéder à l'album !

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 18:18

Lundi soir, Rio, nous prenons le métro après une petite sieste pour rejoindre le Sambodrome, sorte de « stade » spécial pour voir défiler les meilleures écoles de samba. En gros, une rue est entourée de gradins qui peuvent quand même accueillir 72 000 spectateurs ! Il y a déjà folle ambiance dans les wagons, d’autant plus que les personnes qui défilent sont toutes chargées d’emmener leurs costumes, et certaines sont déjà habillées.

La veille, il y a déjà eu 7 écoles qui ont défilé toute la nuit, ce soir, elles sont 6. Cela commence vers 21h, et chacune a 1h15 pour faire défiler ses chars, ses quelques 3000-4000 participants en costumes, le tout au son d’une musique jouée en live par le groupe qui suit le défilé. C’est un enjeu énorme, puisque les écoles ont répété toute l’année sur un thème qu’elles ont choisi et qu’elles sont notées et classées à l’issu des défilés, et que le dernier sera relégué (comme au foot !) en seconde division.

Nous prenons place donc vers 22h dans notre tribune. Nous sommes secteur 12, un nouveau secteur, où nous sommes placés. Il est tout à la fin du défilé, et c’est super puisque nous sommes très proche de la piste, et nous avons également une vue backstage sur le jury ainsi que sur les grues qui ont été positionnées pour permettre aux membres des groupes de descendre des chars incroyables. En plus, dans notre secteur, de nombreux participants se préparent ou reviennent du défilé, ce qui nous permet d’aller voir de près tous ces déguisements !

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Les défilés sont déments ! Les chars incroyables, les costumes plus inventifs les uns que les autres.  Les danseuses brésiliennes en string, paillettes et plumes sont mémorables, et la musique hyper entrainante. La musique choisie par l’école de Samba fini par être en vous puisqu’elle est jouée pendant l’heure et quart du défilé de l’école. C’est simple, personne n’est assis pendant les défilés, tout le monde danse dans la tribune. Heureusement, même si les défilés s’enchainent, il y a un peu de temps entre chaque pour se restaurer et recharger les boissons ! Il n’est même pas nécessaire de se déplacer, les vendeurs apportent tout ce dont on a besoin.

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Pour le dernier défilé, on va même finalement être encore plus prêts, puisque le gardien de la zone devant la nôtre nous laisse gentiment tous passer, en nous demandant de cacher un peu notre pass… Pas discret, mais tout le monde est venu pour faire la fête à cette heure et c’est très bon enfant.

Bref, pour résumer, nous avons vu le plus incroyable spectacle de toute notre vie ! Dinguissime !!! nous ne pensions pas au départ rester aussi longtemps mais nous avons finalement quitté le Sambodrome à 6h du matin à l’issue du passage de la dernière école. Retour en métro à Copacabana, il est 7h, le soleil se lève, nous avons tellement dansé qu’il est temps d’aller dormir…

Nous apprendrons mercredi que nos équipes préférées, Tijuaca et Salgueiro, sont classées 1ère et 2ème ! Les brésiliens sont à fond pendant tout le Carnaval derrière leurs équipes préférées. On est impatients de voir les spectacles qui seront donnés pour la coupe du monde de foot et les J.O. 2016 !

 

Ici les photos de notre incroyable soirée au Sambodrome de Rio !

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 15:11

1h20 du matin, nous prenons place dans le bus à Macéio. Les autres passagers dorment déjà, le bus venant de Natal, plus au nord. Première nuit pas mauvaise bien qu’un peu courte. La journée du lendemain, le bus s’arrête régulièrement 10 minutes environ toutes les deux heures, pour se dégourdir les jambes, s’acheter un snack, une boisson, aller aux WC, etc… et un peu plus longtemps pour les heures de repas. Nous avions de notre côté tout prévu la veille en faisant des emplettes pour nos repas ! Puisqu’une fenêtre du bus est cassée, nous changeons de bus pour la deuxième nuit et nous arrivons finalement en fin de matinée avec un peu de retard - soit 34 heures au lieu de 30 - à Belo Horizonte, plus une heure de décalage horaire !

Nous sommes un peu inquiets, car nous avons été déposés dans une modeste gare routière en banlieue, avec pas mal de cash dans les poches, puisque nous pensions acheter notamment des billets de bus en avance pour Rio, ainsi que le transfert vers Ouro Preto. Nous réalisons rapidement, à la vue des 2-3 maigres kiosques de compagnies de bus, que nous n’aurons pas de bus partant d’ici pour Ouro Preto, notre ultime destination… Nous errons donc dans les couloirs à la recherche d’inspiration soudaine pour trouver notre chemin, et finalement, un jeune agent de sécurité nous informe qu’il faut prendre le métro pour traverser la ville et rejoindre la gare routière principale.

C’est ainsi, et après 1h de queue au guichet de l’autre gare, et l’achat lui rapide de nos tickets pour Rio dans quelques jours que nous sautons dans le bus de 14h00 pour Ouro Preto.

17h, c’est la libération ! Nous posons nos sacs pour 4 nuits dans la Pousada Antigua, une vieille maison ayant logé un sénateur, dans le magnifique village d’Ouro Preto.

Nous bénéficions une fois de plus d’un petit déjeuner incroyablement copieux. Nous débutons la visite de la ville située sur des collines aux pentes raides, avec sa multitude d’églises.

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Cette ville coloniale a connu un incroyable essor au milieu du 18ème siècle avec l’exploitation de mines d’or. De nombreuses églises baroques ont ainsi été construites à cette époque. Puis, l’excitation est retombée, et la ville est aujourd’hui très bien conservée, et classée à l’Unesco (nous ne choisissons pas nos destinations par hasard !).

Au programme donc : visite d’églises baroques, musées sur notamment l’art religieux, balade dans les ruelles – nos mollets s’en souviennent !

Nous n’avons pas pu prendre de photos à l’intérieur des églises, mais nous en avons récupéré une d’un autre blog afin de vous en donner un léger aperçu ! Nombreux intérieurs en bois sculptés et peints.

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Les plus remarquables : l’église Saint-François d’assises, et N.S. do Pilar, dont l’intérieur baroque avec ses 400 kgs d’or, ses lustres et ses rideaux rouges rappelle celui d’un théâtre !

A tous les coins de rue, et cela est à peine exagéré, des Coccinelles et des Vans Volkswagen accentuent le côté rétro de la ville.

Sur nos quatre jours, nous irons également visiter la jolie ville voisine Mariana, ainsi que l’ancienne mine de Passagem. Il faut descendre en petit train au fond de la mine, qui est aujourd’hui partiellement inondée. On peut même y faire de la plongée, mais n’y buvez pas la tasse, l’eau contient de l’arsenic !

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Et puis, nous ne pouvons pas ne pas mentionner les préparatifs et l’ouverture du Carnaval. Les boutiques se chargent de boissons, les petits vendeurs sont au taquet, des scènes sont montées partout en ville. Les habitants et les commerçants décorent les maisons et appliquent des feuilles de couleurs pour transformer leurs fenêtres. Les étudiants, qui habitent des maisons du centre-ville, les « Republica », toutes appelées d’un nom spécifique, déménagent mille matelas, sortent leur drapeaux, louent du matériel et organisent de grandes soirées. Nous profiterons un peu de l’ambiance dans la ville jeudi et vendredi soir. Il y a même un orchestre de percussions, avec quelques policiers en uniforme qui mettent l’ambiance et distribuent des éventails pour la prévention des risques pendant le carnaval – alcool, drogues, MST - accompagnés de préservatifs gratuits ! Communication à la brésilienne !

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Le dernier soir, le vendredi, nous profitons bien des stands de rue, brochettes, épis de maïs et bière locale. Il y a l’école de capoeira qui nous fait une petite démonstration sympathique. Il est un peu trop tôt pour la grosse fête, mais une fois dans notre bus de nuit pour Rio, vers minuit dans une ville du Minas, la musique est tellement forte que le bus en tremble. Le Carnaval est définitivement lancé au Brésil.

Plus de photos d'Ouro Preto et du Minas Gerais ici !

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 17:14

Nous prenons le bus pour Maceio en fin de matinée, non sans avoir auparavant profité de notre passage dans la gare de Récife pour toucher le montant dû à notre annulation du billet pour Salvador. La bonne nouvelle étant qu’alors que nous nous attendions à un remboursement de l’ordre de 30%, la retenue n’a été que de 5%...

Maceio n’est situé qu’à 4h de bus de Récife, mais est dans un autre état, l’Alagoas. Ici quelques touristes étrangers, mais peu nombreux. Normalement la station balnéaire est assez prisée des italiens, mais comme nous expliquera plus tard un chauffeur de taxi, avec la crise de l’euro, ils sont moins nombreux en ce moment.

 

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A peine arrivés, vers 17h30, nous nous dirigeons vers la plage pour nous baigner. Il est fait déjà assez tard, il ne fait plus si chaud que cela, 29°c seulement et le soleil ne donne plus tellement. Nous changeons notre plan pour marcher un peu, grosse activité du coin. Le lendemain matin, nous décidons d’aller à la gare, non sans avoir auparavant retiré de l’argent en ville. Nous avons vérifié sur internet, la situation étant toujours compliquée à Bahia, nous changeons donc nos plans, l’étape suivante sera le Minas Gerais avec un bus pour Belo Horizonte. Nous prenons un taxi pour aller à la gare histoire de gagner du temps et sécuriser le liquide que nous avons sur nous. Une fois arrivé au comptoir de la compagnie, nous demandons notre bus. Après quelques discussions afin de nous faire comprendre, arrive le moment du paiement et nous nous rendons compte que nous nous sommes trompés sur le montant nécessaire !! Du coup nous sommes bons pour faire un aller-retour à la pousada pour retourner ensuite au guichet et devoir réexpliquer à l’agent notre demande. Il a changé entre-temps et n’arrive pas à comprendre que l’on veuille prendre un bus aussi tôt et si nous souhaitons partir dans la nuit de samedi ou de dimanche. Après une bonne discussion nous parvenons à nos fins et payons.

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Nous pouvons enfin profiter de la plage, ce qui sera notre activité pour les trois derniers jours. Il ne faut pas oublier les coconuts sur la plage, qui rappelle des souvenirs des plages en Asie et des quelques caipi prises ici et là.

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La Pousada est sympa, à 100 mètres de la plage, avec une nouvelle fois d’énormes petits déjeuners buffets – une constante ici au Brésil – et ses perruches qui jacassent toute la journée !

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Le dernier soir nous partons de la pousada un peu avant une heure du matin, réveillons un taxi qui dormait devant l’hôtel en face et arrivons sans problème à la gare routière où notre bus arrive 5 minutes après nous. Et c’est parti pour un long voyage.

Pour le diaporama, par ici!


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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 13:55

 

Deux vols sont nécessaires depuis Campo Grande pour rejoindre le nord-ouest du Brésil, Récife, en passant par Sao Paulo. Vers 16h, nous prenons un premier bus local à l’aéroport qui nous emmène vers le centre-ville. Nous traversons avec ce bus la banlieue balnéaire de Récife, Boa Viagem, succession de buildings avec gardiens, avec parfois ici et là, une petite ruelle avec quelques baraquements. Coexistence de richesse et de pauvreté, nous sommes bien au Brésil.

Au centre-ville de Récife, ça grouille de monde. Nous sommes déposés sur une place où une multitude de bus passent dans tous les sens. Deux backpackers ici ne passent pas inaperçus. Nous arrivons finalement à repérer celui qui peut nous emmener à Olinda, et nous arrivons la nuit tombée là-bas, et descendons au bon endroit grâce au préposé au paiement des tickets du bus qui nous indique que nous devons descendre. Heureusement, la pousada n’est qu’à 200 mètres de là.

Nous passons finalement 5 nuits à Olinda, et nos journées sont occupées par la visite de ses ruelles pavées aux maisons colorées et ses églises et couvents, entre coupées par des moments de farniente à la guesthouse et quelques brasses dans la piscine.

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les stands de tapioca

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Il faut dire que le petit déjeuner à lui tout seul occupe un sacré moment de notre journée, notamment la période de digestion ! Salé : saucisses, fromage, semoule, œufs… Sucré : moultes biscuits et gâteaux préparés par les cuistos tous les matins, tartelettes aux fruits, à la crème, au dulce de leche, congolais coco, cakes au chocolat, marbrés… Sans oublier les jus de fruits frais : mangue, caju, goyave… et tous les fruits à déguster : papaye, pastèque, bananes, ananas, melon… Bref, vous aurez compris, le midi, nous n’avions pas vraiment faim. Nous avons remplacé notre déjeuner par un goûter vers 16h-17h au coucher du soleil – le soleil se couche tôt sous les tropiques ! – des galettes de tapioca ! Une bonne vingtaine de stand tenus par des mamas brésiliennes propose en haut d’Olinda des galettes issu du manioc, remplies de bonnes choses et cuites et gratinées à la poêle sur des braises. Le meilleur : noix de coco fraîche râpée et fromage, ou bien banane, sucre de canne, fromage et lait concentré sucré… à arroser d’une bière fraîche ou d’eau de coco verte ! Pour terminer sur ce paragraphe culinaire, nous testons également un excellent restaurant tenu par un français, reste en mémoire, les crevettes façon colombo, confit de mangue, riz noir aux raisins…

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Perplexe, devant le rayon fruits du supermaché

Mais l’attraction principale, ce sont les répétitions du Carnaval. Nous sommes tombés en plein week-end de préchauffe officiel. Vendredi soir à notre arrivée, nous avons croisé quelques groupes de percussions en ville. Samedi rebelotte. Dimanche, la ville déborde de monde, tous les jeunes se sont retrouvés le long de la plage, puis le soir au centre-ville, pour suivre les groupes et danser avec eux. Il y avait une grande concentration de jeunes déguisés en femme, en hommage à la plus célèbre troupe de carnaval d’Olinda qui rassemble 400 drags. Un bon avant-goût de Rio !

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Allez, on vous a préparé une petite vidéo sur les fanfares du dimanche !

 

 

Nous allons également en début de semaine au centre-ville de Récife, et là aussi, on visite un certain nombre d’églises dans la ville en pleine préparation du Carnaval.

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les stands de déguisements de Récife

Nous prévoyons également la suite du voyage, avec la réservation de billets de bus et d’hébergement pour Salvador, la prochaine étape.

Il faut savoir que depuis que nous sommes arrivés ici, nous sommes particulièrement prudents, compte tenu de la mauvaise réputation du pays en termes de sécurité. A chaque sortie donc, nous ne prenons que le strict minimum d’argent liquide, voire rien si nous allons voir les répétitions du carnaval. Le jour de notre départ, nous allons retirer de l’argent au seul distributeur disponible de la vieille ville, dans une station essence. A notre arrivée, le DAB est en maintenance, et le technicien est escorté par 3 hommes en gilet par balle, un a le pistolet sortit à la main, un autre à le fusil à pompe posé sur un meuble en face de l’entrée de la boutique de la station essence. Ambiance particulière ! Elodie déteste ces moments stressants passés aux distributeurs de billets de toutes façons…

Retour à la guesthouse : nous quittons notre chambre et nous posons tranquillement dans le jardin, pour tuer le temps avant de nous diriger vers la gare routière de Récife pour notre bus. Là, un touriste danois entame la discussion, et nous demande notre prochaine destination. Lorsque nous lui annonçons Salvador, il nous informe alors de la grève de la police, qui fait pression avant le Carnaval pour notamment les salaires. La grève a lieu depuis plusieurs jours là-bas, et le chaos général règne, les homicides se multiplient. Il séjournait dans la vieille ville, et tous les jours, c’était des scènes de pillages dans les magasins – électro-ménager et autres denrées -  les restaurants et les bars fermés, des bus incendiés. Il a vu les militaires tirer sur les policiers, et des militaires venir se reposer dans sa guesthouse et nettoyer leurs fusils avant de repartir dans les rues. Après avoir séjourné à Caracas, et s’être fait vider les poches à Quito en Equateur, deux endroits à la mauvaise réputation, il trouve Salvador le pire endroit d’Amérique Latine. Les 3 derniers touristes restants dans son hostel étaient des argentins, obligés de rester pour attendre de l’aide de leur consulat, après s’être faits chacun indépendamment détrousser à Bahia. Bref, il nous déconseille très fortement d’aller à Salvador, d’autant plus que selon lui, les militaires sont présents la nuit et le matin, mais à midi, plus personne…

Nous le remercions donc de nous avoir prévenus ( !), et de nous éviter ainsi une arrivée dans un endroit chaotique voire dangereux, et comme un des intérêts de Salvador, c’est sa musique… Nous décidons d’annuler tout simplement notre séjour, nous perdons une nuit d’hostel, mais la retenue sur notre bus est faible. Nous prolongeons une nuit à Olinda pour réorganiser la suite.

Tout cela nous rappelle que le Brésil est effectivement un pays sensible, et nous tâchons d’être encore plus prudents, discrets et humbles (zéro montres, bijoux, marques, s’habiller comme les locaux, sortir sans sac, sans « lonely » dans les mains !!!), même s’il est impossible d’éliminer ce risque permanent d’être racketté.

Nous décidons donc d’aller nous détendre quelques jours sur la plage à Macéio, afin de réfléchir à notre nouveau programme ! Ah, sacré Brésil !

Plus de photos d'Olinda ici !

 

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 14:37

 

Bus de nuit au départ de Foz de Iguaçu : nous avons des tickets achetés par notre hostel, mais nous n’avons pas compris grand-chose aux tickets en soi –horaires bizarres, nom de villes qui ne correspondent pas pour un éventuel changement.... Personne à l’hostel n’a su nous répondre clairement la même chose, donc nous verrons bien.

Finalement, vers 20h, deux heures après l’embarquement dans le bus, nous arrivons dans une ville, on nous fait tous descendre, et nous comprenons que nous remontons dans le même bus 45 minutes plus tard. Le bus quitte la gare routière avec tous nos bagages mais revient comme prévu presqu’à l’heure !

6h30, nous arrivons à Campo Grande, nous sommes en compagnie de trois hollandaises, qui vont faire également un tour dans le Pantanal , la plus grande zone humide de la planète : l’agence vient nous récupérer et nous passons une journée tranquille à l’hostel, notamment car le quartier, celui de l’ancienne gare routière, n’est pas très avenant. Après une nuit un peu difficile – la nourriture du restaurant voisin n’était décidément pas de première fraîcheur ! – nous démarrons le tour !

Grande journée de transport : 5 heures de min-van, puis nous sommes chargés nous et nos bagages dans un antique camion pick-up pour 60 kilomètres de piste et autant de ponts. Le conducteur, avec son chapeau de gaucho et ses couteaux dans le dos nous fait une belle frayeur quand la direction avant cède et que l’on atterrit dans le bas-côté !

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Après un resserrage de boulons, « todo bem », on repart de plus belle, avec quelques arrêts sur la route, pour voir les premiers capybaras, énormes rongeurs d’1 mètre et pesant de 30 à 60 kilos, et bien sûr de nombreux caïmans !

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A la fin de notre long trajet, nous devons prendre un bateau pour traverser le Rio Paraguay, le plus grand fleuve du Pantanal, région marécageuse, pour rejoindre notre Pousada située sur la rive, de l’autre côté. Les guides ménagent le suspense, ou gèrent à la brésilienne, nous n’avons connaissance du programme de nos activités que par demi-journée à chaque repas.

Après une première nuit, nous nous levons à 6h pour un magnifique lever de soleil, puis, après le petit déjeuner, c’est pêche ! Il y a de nombreux poissons dans le fleuve, notamment des Piranhas. Mais dixit les guides : pas de problème pour se baigner ici, devant la pousada, les caïmans et les piranhas, finalement peu dangereux, ont assez à manger pour nous laisser tranquille ! Mais pas dans les autres affluents du fleuve, moins profonds… Personne ne tentera finalement l’expérience ! A part les pieds dans l’eau pour pêcher, et où l’on sent que l’on n’est pas seul…

Finalement l’activité pêche s’avère assez prenante : on utilise du poulet pour attirer les poissons, mais souvent, les piranhas sont bien malins et mangent l’appât sans se faire prendre. On a la sensation de les nourrir, mais in fine, François en  pêchera 3, dont les deux plus gros, et Elo deux.

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La fin de matinée, est un peu longue, on sièste dans le dortoir, puis après le déjeuner, où nous pouvons déguster notre pêche, nous partons en excursion bateau sur les affluents du Rio Paraguay. Il y a des centaines et des centaines d’oiseaux qui vivent ici et se nourrissent de poissons : hérons, martin-pêcheurs, cormorans, jabirus, aigles… Mais aussi des perruches et autres oiseaux colorés.

Notre guide décide d’accoster sur une berge. Réaction de la gente féminine : « ah bon, il faut descendre ???! », en espérant qu’il n’y aura pas un caïman en train de dormir dans le coin… Mais généralement, lorsqu’ils entendent le bateau, ils vont systématiquement se réfugier dans l’eau.  Nous marchons donc dans les herbes en tongs et shorts et parfois dans l’eau pour rechercher – nous l’apprendrons en cours de marche – un anaconda ! Ces incroyables serpents vivent dans les marécages et ont coutume d’étouffer leur proie ou de les entrainer dans l’eau pour les noyer… Finalement, pas de chance. Nous verrons quand même pendant le reste du trajet en bateau de nouveaux Capybara en train de traverser une rivière et un couple de singes dans des arbres.

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A la recherche de l'anaconda...

Le soir, tous les touristes se retrouvent autour d’un apéro sympa à la pousada, et après le diner, c’est night-boat ! Très sympa au clair de lune, on voit plein de paires d’yeux luisants, les caïmains sont en chasse. D’ailleurs, ils sont moins méfiants la nuit, et ne plongent qu’au dernier moment à l’approche du bateau, c’est plus excitant qu’en journée. Certains oiseaux ne chassent que la nuit, nous en voyons quelques-uns avant de rentrer.

Dernière matinée, dernier tour en bateau. Notre guide est au taquet, il veut absolument que l’on trouve un anaconda, surtout qu’un autre groupe en a vu 2 la veille. Nouvel accostage, et on repart en exploration, cette fois ci dans les herbes un peu plus hautes et il nous demande de nous séparer pour accroître nos chances d’en trouver un ! Bon, on va bien regarder où on met les pieds alors ! Finalement, nous ne serons pas chanceux, après une bonne heure, nous regagnons donc le bateau.

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Il est temps de quitter la Pousada : nous n’aurons donc pas vu les grands animaux du Pantanal notamment le jaguar mais sur le long chemin retour, nous apercevrons, dans un marécage en train de se dorer la pilule, le fameux anaconda tant recherché !

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Retour pour une nuit à Campo Grande, c’est la fin du séjour dans le magnifique Pantanal.

Plus de photos de notre séjour dans le Pantanal, cliquez ici !

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 23:42

Argentine.gif El Chalten El Calafate Ushuaia Buenos Aires Cordoba Salta Humahuaca Iguazu

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Que les argentins le veuillent ou non, notre trajet dans leur pays a été fortement lié à leurs voisins, qu’ils les apprécient ou non : entre les chassés-croisés avec le Chili, le nord fortement imprégné de culture andine et enfin Iguazu qu’on ne peut dissocier du côté Brésilien. Nous avons fait l’impasse sur les parties liées à l’Uruguay et au Paraguay. Nos choix de parcours pourront paraître discutables, notamment d’avoir « zappé » Barriloché ou Mendoza, mais 4 semaines dans un aussi grand pays, cela passe vite !

Les plus :

  • La viande, excellente

 

  • La sympathie des argentins, leur accueil

 

  • De la pampa aux montagnes en passant par le climat subtropical d’Iguazu, pas de répit !

Les moins :

  • Une forte inflation (seulement 10% en 2011) qui se ressent sur les transports très chers

 

  • Une offre hôtelière inégale

 

  • De grandes distances à parcourir

 

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